En cette fin d’année 2024, RESSOURCES a célébré son 25ème anniversaire. Pour l’occasion, nous avons décidé de mettre en avant les métiers de l’économie sociale et circulaire, les collaboratrices et collaborateurs des 𝟳𝟴 structures membres de la Fédération.
Nous sommes fière de fédérer, défendre et soutenir ces Acteurs de l’économie sociale, au quotidien.🙌
Quelques jours avant le fameux Vendredi Noir, Amsterdam s’illustre en prenant une position forte contre la frénésie consumériste du Black Friday, symbole de pratiques économiques, sociales et environnementales destructrices. Dans une démarche résolument engagée, la capitale néerlandaise encourage ses citoyens à adopter les principes et valeurs défendue par le collectif Green Friday, une alternative qui invite à réfléchir avant d’acheter. Deux questions simples mais puissantes sont mises en avant : « En ai-je vraiment besoin ? » et « Puis-je l’acquérir en seconde main ? ».
Cette initiative marque un tournant dans la sensibilisation collective. Une capitale européenne invite les consommateurs à repenser leur rapport à la consommation, en alignant leurs comportements sur des valeurs de durabilité et de sobriété. Amsterdam ne se contente pas d’inciter, elle agit comme un modèle pour d’autres métropoles, prouvant que des alternatives au consumérisme effréné sont non seulement possibles, mais nécessaires.
Un détournement mercantile préoccupant
Cependant, si le Green Friday semble gagner du terrain, son adoption par certaines entreprises suscite des interrogations et parfois même de l’indignation. Le problème ? Le détournement de ce concept à des fins purement commerciales par des enseignes comme Ikea, Decathlon, Xandres ou encore Dille & Kamille.
Ces entreprises, sous couvert d’adhérer aux principes du Green Friday, en font souvent un simple outil marketing pour soigner leur image. Leur stratégie repose sur des opérations promotionnelles présentées comme responsables, mais qui ne remettent pas en question leur modèle économique linéaire et générateur d’externalités négatives.
Prenons Ikea, par exemple, qui propose des initiatives de reprise ou de revente de meubles en apparence vertueuses. Si ces programmes favorisent une économie circulaire, ils servent avant tout à encourager la consommation de nouveaux produits. Il en va de même pour Decathlon, qui vante son engagement pour la seconde main mais continue d’inonder les marchés de produits neufs à bas coût. Ce type de communication relève d’un greenwashing subtilement maquillé, bien loin des idéaux qui sous-tendent le Green Friday.
Green Friday : un levier de transformation sociale à protéger
Le Green Friday, dans son essence, est une démarche militante. Il ne s’agit pas simplement de consommer « autrement », mais bien de consommer moins. Il incite à prendre conscience des impacts sociaux et environnementaux de chaque achat : exploitation des travailleurs, extraction des ressources naturelles, émissions de gaz à effet de serre, et accumulation de déchets.
L’appropriation de cette journée par des entreprises aux pratiques contestables constitue une menace pour son authenticité. Elle dilue le message original et risque de décrédibiliser les acteurs réellement engagés dans une transition écologique et sociale.
Vers une vigilance citoyenne accrue
Si des initiatives comme celles d’Amsterdam méritent d’être saluées, elles appellent également à une vigilance accrue de la part des citoyens. Face aux discours séduisants des grandes enseignes, il est impératif de questionner leurs véritables intentions.
En tant que consommateurs, nous avons un rôle crucial à jouer : refuser les discours hypocrites et privilégier les structures réellement alignées sur les valeurs du Green Friday. Soutenons l’économie sociale et circulaire, les acteurs de la réparation, du réemploi ultra local, les circuits courts, les associations et les coopératives véritablement engagées dans une transition durable et équitable.
En conclusion, Amsterdam nous montre la voie. Mais pour que le Green Friday conserve sa portée transformative, il doit être protégé des dérives mercantiles. C’est un appel à l’action collective, pour construire une économie qui respecte autant la planète que les individus qui l’habitent. Le défi est de taille, mais il en va de notre avenir commun.
C’est le moment pour les entreprises agrées de renouveler/demander à modifier leur agrément.
L’agrément réutilisation a été modifié par l’AGW du 21 mars 2024 qui est entré en vigueur le 20 juillet 2024.
Suite à cette entrée en vigueur, les entreprises agréées doivent, selon les cas, introduire une demande de modification de leur agrément ou introduire une nouvelle demande d’agrément.
- Doivent introduire une demande de modification de leur agrément pour prendre en compte la nouvelle répartition des flux les entreprises dont l’agrément actuel prend fin au-delà du 31 décembre 2025.
- Doivent introduire une nouvelle demande d’agrément les entreprises dont l’agrément actuel prend fin avant le 31 décembre 2025.
Dans les deux cas, ces demandes doivent être parvenues au DSD pour le 20 octobre 2024 au plus tard.
Pratiquement, chacune des entreprises concernées a reçu un mail de Madame Sandrine Chaboud qui est en charge des dossiers au sein du DSD avec les éléments nécessaires. Les dossiers peuvent être introduits via le formulaire papier ou via le formulaire en ligne.
Vous pouvez retrouver une rubrique “FAQ” reprenant les questions qui reviennent à propos de l’agrément.
Si nécessaire, vous pouvez contacter Madame Sandrine Chaboud, merci de le faire uniquement par mail sandrine.chaboud@spw.wallonie.be
N’hésitez pas non plus à contacter RESSOURCES, personne de contact : Christine Coradossi c.coradossi@res-sources.be 081.390.710 ou 0475.50.80.69
Documents utiles :
- Le texte de l’AGW
- Présentation de la séance d’information du 5 septembre 2024 par Sandrine Chaboud
- Pour les nouvelles demandes :
- Le formulaire papier
- Le formulaire électronique: demander celui-ci à Madame Sandrine Chaboud
- Pour les demandes de modification : Modèle de demande de modification
Les agréments modifiés ainsi que les nouveaux agréments prendront effet au 1er janvier 2025.
Description du contenu de l’AGW révisé
Ce 21 mars 2024, le Gouvernement Wallon a adopté la révision de l’arrêté relatif à l’agrément et au financement des entreprises sociales actives dans le réemploi. Outre quelques changement de vocabulaire (ne dites plus réutilisation mais « réemploi »), le texte adopté apporte des avancées intéressantes pour les entreprises concernées.
Tout d’abord, la révision vise la simplification administrative: les critères d’obtention de l’agrément diminuent de 16 à 11. L’obtention préalable de l’agrément IES (ou de ses équivalents dans les autres Régions) permet en effet de supprimer les doublons.
Ensuite, le cœur de la réforme aboutit à une augmentation des compensations financières (le texte banni le terme « subvention ») octroyées aux entreprises agréées. La compensation se divise en quatre parties :
- La partie économie sociale (ex-emploi) reste inchangée.
- La partie environnement (à la tonne réutilisée) est légèrement restructurée au niveau des catégories et les montants sont fortement augmentés. Ces montants seront indexés chaque année. Ci-dessous, les montants en euros/tonne:
- EEE (y compris IT et PPV): 420€
- Matelas: 180€
- Meubles: 180€
- Vélos: 180€
- Objets de déco/vaisselle: 180€
- Autres objets valorisables: 180€
- Textiles: 400€
- Déconstruction: 95€
- Un montant forfaitaire de 7.500€ est octroyé aux structures qui réemploient entre 10 et 100 tonnes pour couvrir les frais administratifs et de gestion de l’agrément.
- Le bonus, mécanisme de redistribution des budgets non utilisés par certaines entreprises agréées, reste inchangé.
Enfin, la révision renforce la sécurité juridique du dispositif au regard de la législation sur les aides d’Etat. Le mandat de service d’intérêt économique général (SIEG) a été actualisé et est mieux intégré dans les politiques sociales et environnementales de la Région. Le mécanisme de contrôle de la surcompensation a été précisé sans alourdir la charge de rapportage des entreprises, prend en compte de manière juste les rémunérations similaires octroyées par les REP et intègre la notion de « bénéfice raisonnable » fixé à 6% par défaut.
En conclusion, ces modifications augmentent l’attractivité de l’agrément et des compensations financières qui en découlent. RESSOURCES va maintenant rester attentif afin que les enveloppes budgétaires inscrites dans le budget wallon à partir de 2025 intègrent ces évolutions et les objectifs d’augmentation des résultats attendus, tant au niveau de l’environnement que de l’économie sociale.
Relocalisation d’activités, création d’emplois, valorisation des ressources locales, opportunités de développement : l’économie circulaire peut être une véritable opportunité pour votre commune, en vous appuyant sur l’expertise des organisations d’économie sociale. Car l’économie sociale conjuguée à l’économie circulaire permet d’entreprendre autrement pour répondre aux défis socio-économiques locaux.
Des organisations pionnières et innovantes
Qui ne connaît pas les Ressourceries, les Petits Riens et les bulles à vêtements Terre ? Ou les innovations que sont les ateliers vélo ou les Repair Cafés ? Pionnières de l’économie circulaire, ces organisations d’économie sociale collectent, trient, réparent, upcyclent et recyclent des objets du quotidien, des textiles à l’électroménager en passant par des vélos et d’autres déchets devenus des ressources. Elles connaissent parfaitement les filières, maîtrisent les flux et les externalités. L’économie circulaire est leur cœur de métier.
Des emplois locaux et non délocalisables
Les entreprises d’économie sociale ne se contentent pas de réduire les flux de déchets : elles créent aussi des emplois pour des personnes défavorisées qui collectent, trient, revalorisent et revendent ces objets. Elles contribuent également à lutter contre la pauvreté et l’exclusion, en proposant à petits prix des objets revalorisés, dans des boutiques solidaires de seconde main. L’économie sociale et circulaire dispose de tous les leviers nécessaires pour devenir un moteur de développement économique, social et environnemental et un véritable atout dans votre commune.
Favoriser l’économie sociale et circulaire locale
L’économie circulaire est encouragée à tous les niveaux de décisions. Vous aussi, vous pouvez agir en vous appuyant sur l’expertise des entreprises d’économie sociale.
- En 2022, la Région de Bruxelles-Capitale a adopté une feuille de route pour stimuler le réemploi sur son territoire en intégrant des mesures de soutien à l’économie sociale. L’objectif est de doubler le volume de collecte pour la préparation au réemploi et atteindre 5 kg par an par habitant d’ici 2025.
- Avec la stratégie Circular Wallonia, la Région wallonne veut atteindre au moins 8 kg par an par personne de biens réutilisés plutôt que jetés d’ici 2025 : soit une augmentation de 50%.
Un partenariat multiforme pour des alternatives durables
Entre les entités de la Ressourcerie Le Carré et Ipalle, l’intercommunale qui gère les déchets, l’eau et l’énergie dans la Wallonie Picarde et le Sud-Hainaut, le partenariat s’est renforcé avec les années. Nous récupérons déjà les vélos déposés dans les Recyparcs pour les réparer et les remettre en vente à petit prix. De nouvelles collaborations concernent la mise en place de Boîtes à Récup’ et de Matériau Box dans les Recyparcs, pour récupérer des grilles pains, des lampes et autres objets du quotidien, ainsi que des châssis, du bois, du carrelage et autres matériaux de construction réutilisables et en bon état. Nous travaillons aussi conjointement sur le projet de Maison Zéro Déchet à Tournai, complexe dédié à l’économie circulaire à destination du grand public, avec différents espaces dédiés à la prévention des déchets-ressources, leur collecte, regroupement, tri, nettoyage, réparation et/ou upcycling et vente. La finalité est environnementale, bien entendu, mais aussi sociale, par la réinsertion professionnelle de personnes éloignées du marché de l’emploi.
Stéphanie Collard
Chargée de communication, Ressourcerie Le Carré ASBL
Êtes-vous infidèle ?
Avez-vous vu ou entendu la nouvelle campagne de promotion de l’économie sociale ?
Elle invite les citoyens wallons et bruxellois à faire une infidélité à leurs habitudes de consommation, en testant l’économie sociale. J’y participe avec mes collègues de la Fédération RESSOURCES asbl !
Car OUI, nous sommes Acteurs de l’économie sociale.
Vous ne le savez peut-être pas, mais RESSOURCES asbl est la Fédération de l’économie sociale et circulaire. Eh oui, en tant que Fédération à finalité sociale, notre but premier est d’être utile à la collectivité, pas de faire du profit, ou de s’assurer que nos entreprises membres en fasse un maximum…
Qu’est-ce que ça change ?
Et bien ça change tout ! Nos trois piliers, ce sont l’économie, le social et l’environnement. Mais pas comme vous avez l’habitude de le lire, de le voir ou même de l’entendre. Nos engagements ne sont pas limités à de beaux emballages servis à coup de plans CSR ou de rapports d’impact sortis de la cuisse de Jupiter et mettant en avant la neutralité carbone de nos gazelles entrepreneuriales.
Non pas du tout, en qualité de front runners nos entreprises membres préfèrent concentrer leur temps sur l’action et l’amélioration continue de leurs activités. Bien qu’exemplaires depuis de nombreuses années, nos entreprises ne s’attardent pas à vous faire “gober” qu’elles sont neutres en carbone depuis 2007… #Bullshit !
Nos entreprises sont conscientes qu’il nous faudra soulever des montagnes pour ne serait-ce que tendre vers cette neutralité. Que nous n’y arriverons pas seuls, mais tous ensemble !
Et qu’on le veuille ou non, il nous faudra aborder la question épineuse de la croissance et de sa sœur jumelle, la décroissance !
Les Petits Riens | Spullenhulp par exemple, ont pour mission de venir en aide à un public précarisé, en offrant des solutions de logement à des personnes sans abri, et en réinsérant des individus éloignés de l’emploi dans le monde du travail. Ils financent ces actions grâce à leur activité économique, qui repose en grande partie sur vos dons.
Acheter vos vêtements dans un de leurs magasins, c’est soutenir une économie sociale et locale, responsable et solidaire, aux antipodes de Vinted, Shein et autres géants de la fast fashion, dont l’objectif premier est de générer un maximum de profits, aux dépens des travailleurs.euses et de l’environnement.
Mais dans les faits qui s’engage réellement dans une démarche réellement vertueuse ? Vous ? Vos voisins ? L’équipe de Google ?
Alors certes, Les Petits Riens | Spullenhulp ne sont pas neutres en carbone, d’ailleurs personnes ne l’est réellement ! Mais oui, il existe des Acteurs de l’économie sociale qui adoptent le chemin vers cette transition nécessaire. Et ils y arriveront grâce à vous, votre soutien et surtout par votre changement de comportement !
Par ailleurs, il existe plein d’autres Acteurs de l’économie sociale, dans l’alimentation, la Récup’, les titres-services, la construction, les parcs et jardins, l’énergie, la santé et même la téléphonie, qui font réellement bouger les lignes, pas uniquement celles de leurs rapports d’impact habillés de main de maître par les meilleurs marketers de la planète.
Alors si vous voulez vraiment faire quelque chose pour la société, pour la planète, pour mieux dormir le soir, commencer par des actions très simples et très locales… Trouvez les entreprises qui font réellement bouger les lignes, près de chez vous sur conso.economiesociale.be, et faites d’autres infidélités au profit à tout prix.
Merci de nous être fidèle.s !
« L’économie sociale moteur de l’économie circulaire ? »
Dans le cadre de la Quinzaine de l’Économie Sociale et Circulaire, la fédération RESSOURCES invite les pouvoirs publics et les professionnels du secteur de l’économie circulaire à sa conférence-débat annuelle, ce jeudi 1er juin 2023 à Namur. ♻
Forts de leur expertise, un panel d’experts et de stakeholders du secteur partageront avec nous leurs visions, plurielles, et nous offrirons un regard global sur les enjeux d’une économie #sociale et #circulaire .
✅ La digitalisation
Afin de rester compétitif et répondre aux exigences d’une société de plus en plus digitalisée, comment le secteur de l’économie sociale et circulaire doit-il se comporter ? La digitalisation représente-elle une menace ou une opportunité pour le secteur ? Pour ses usagers ? Pour l’emploi ? Existent-ils des freins à la digitalisation du secteur ?
✅ L’industrialisation
Afin de répondre aux enjeux que représentent la collecte, le traitement et la valorisation des déchets/ressources, les entreprises d’économie sociale et circulaire sont-elles en mesure de faire face aux volumes à traiter ? N’est-il pas contradictoire de vouloir industrialiser des activités d’économie sociale ? Les entreprises sociales sont-elles en mesure de réellement concurrencer les entreprises dites capitalistes ?
✅ L’impact social
Face aux évolutions technologiques et industrielles, comment le secteur de l’économie sociale et circulaire doit-il se positionner ? Le secteur ne risque-t-il pas de perdre une partie de ses valeurs, de son ADN et in-fine de son impact sur la société ? Faut-il absolument chercher la croissance en économie sociale ? L’élément différenciant du secteur de l’économie sociale et circulaire est par essence, son impact social… Mais faut-il encore pouvoir le communiquer. A l’instar de l’impact environnemental, n’existe-il pas un risque que les entreprises capitalistes s’en emparent à grand coup de socialwashing ?
Nous tenterons de répondre à toutes ces questions avec l’aide de nos 6 panélistes.
Quand ? Le jeudi 1 juin 2023, de 13h30 à 16h30
Où ? Rue de Fernelmont 40/42, 5020 Namur sur le site de CREAGORA
Le débat sera modéré par Matthieu Peltier, Professeur d’éthique et de philosophie à l’EPHEC et chroniqueur à la RTBF.
Consultez notre page LinkedIn afin de découvrir les panélistes qui interviendrons le 1er juin.
Inscrivez-vous via le lien ci-dessous 👇 👇 👇
À la découverte des Acteurs de la Récup’
Le samedi 27 mai, les Acteurs de la Récup’ vous invitent à pousser leurs portes. Il existe plus de 170 points de vente, centres de réparation et d’upcycling, partout en Wallonie et à Bruxelles. À cette occasion, les Acteurs de la Récup’ vous offrirons un apéritif circulaire… Trouvez tous les Acteurs de la Récup’ près de chez vous sur notre outil de géolocalisation via les onglets ACHETER DONNER RÉPARER
” C’est la saison du tri dans les garde-robes. Avec le soleil qui commence à se montrer, on range les doudounes, les gros pulls et on en profite pour faire un tri dans ses armoires. C’est le moment de l’année préféré des escrocs, des voleurs de vêtements de seconde main. Des pseudo “associations caritatives” récoltent vos vêtements, en porte à porte ou via de fausses bulles à vêtements...”
RESSOURCES publie sa 9e édition de l’Observatoire de la réutilisation. Celui-ci présente une synthèse des concepts et les données clés du secteur afin de mieux appréhender l’activité des entreprises sociales actives dans la réutilisation, le réemploi et la réparation, les emplois qu’elles génèrent et les différentes activités qu’elles développent au service des citoyens pour optimaliser la gestion des déchets.
L’analyse porte sur les données collectées auprès des membres de RESSOURCES actifs en Wallonie et en Région Bruxelles-Capitale couvrant l’année 2021. Ils participent à la réduction des déchets par leurs activités de réparation, collecte et réutilisation des biens et des matières.
Ces données montrent la diversité et la plus-value des activités de ces entreprises. Les métiers et les contraintes de chaque filière étant spécifiques, l’Observatoire présente séparément les principales filières de produits traités par les membres de la Fédération, à savoir : Textiles, Objets du quotidien, DEEE (les Déchets des Équipements Électriques et Électroniques), Vélos et Matériaux de construction.
Découvrez la nouvelle campagne de l’économie sociale.
Une économie qui dit NON au surprofit, et OUI à l’humain ? C’est possible, et ça existe déjà : c’est l’économie sociale !